France Culture, mars 2016. Entretiens avec Raphaëlle Rérolle.
C’était après l’indépendance de l’Algérie, se souvient Boualem Sansal. La littérature avait été déclarée bourgeoise, donc plus ou moins excommuniée, et on se passait toutes sortes d’ouvrages comme de la fausse monnaie. C’est à ce moment-là que son cerveau a commencé à entrer « en dissidence ».